Le groupe autochtone de Munduruku compte environ 14 000 personnes et son territoire s'étend le long de la rivière Tapajós. Cette communauté vit principalement de la pêche, de la chasse, des fruits et d'açaí, une petite baie. Son alimentation et sa survie dépendent donc directement d'une rivière massivement polluée par l'exploitation minière illégale.
