Le cas le plus emblématique est la rivière Ngamaboungou. Du démarrage des activités en 1961 jusqu'à fin 1975, elle est « une déchetterie minière ». Les résidus de traitement y sont rejetés dans son lit, formant ainsi un champ d'épandage en aval de la première usine de traitement de l'uranium en service de 1961 à 19818.